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Héros d'hier et d'aujourd'hui
du Coeur d'Argent

Les Héros qui succédèrent à ceux de la guerre des anciens
Handor le Puissant (Règne de 237 à 402)

La famille royale de Paris eut de prime abord du mal à concevoir un prince héritier. La reine mit finalement au monde Handor et mourut à l'accouchement. Le roi qui aimait passionnément la reine ne se remaria jamais et ne fit pas d'autre enfant. Handor, fils unique et prince, ne fut pas pour autant gâté, car il devait savoir régner. Il reçut donc une éducation très cadrée : il devait savoir se maintenir droit face à ses sujets, manger correctement, ne pas être impoli et écouter attentivement ce qu'on lui quémandait... ainsi que des choses plus utiles comme les bases de la diplomatie, de la stratégie... Il fut aussi entraîné intensivement au combat et eut plusieurs maîtres d'armes, chacun ayant des techniques différentes. Devant donner l'exemple et sa famille était liée aux divinités, Handor fut vite initié à la religion et priait quotidiennement Tyr.

Il développa un esprit critique et un physique convenable, sachant différencier le Bien du Mal. Mais pour lui apprendre à défendre le peuple qu'il gouvernerait un jour, il dut passer deux ans en compagnie des gardes, servant lui-même son père le roi en tant que capitaine des soldats. Il acquit bien vite une discipline de fer mais aussi un esprit souple. On lui enseigna la tolérance et l'acceptation. Devenu guerrier et prêtre, il fut un digne prince héritier. Mais le roi vint vite à perdre goût à la vie et il se laissa mourir. A ses dix-huit printemps, Handor monta sur le trône. Il n'était pas encore préparé aux dures réalités du monde et des félons.

Il ne changea aucun des membres composant son Conseil Royal, qui toutefois le méprisaient à cause de sa jeunesse. Pour compenser, le jeune héritier se laissa pousser la barbe. Cela fit un peu illusion mais Handor avait besoin d'affermir son sang royal, surtout que son royaume était en proie à la famine. Il parvint à résoudre seul les problèmes sans pour autant les faire disparaître mais à les amoindrir. Reconnaissant, le peuple le soutint fermement, et même le Conseil Royal ne pouvait se soulever contre lui...

Il aimait aller à la chasse, et parfois allait seul prier et méditer dans la chapelle royale. Lors d'une de ses chasses, il croisa un Wyvern qui menaçait une région de son royaume. Ses fidèles sujets qui l'accompagnaient perdirent courage mais pas lui. Handor chargea avec bravour la créature et la vainquit seul. Après cet exploit, plus personne ne contesta ses capacités à régner. Un mois plus tard, il fut couronné roi.

Mais les soucis du royaume ne s'attènuent jamais... Alors même qu'il en finissait avec des problèmes d'impôts élevés, il eut ouï dire qu'une rébellion grondait. Il s'entoura alors de ses plus loyaux et puissants sujets, qu'il considérait comme des amis. Servan Fatil, une rôdeuse, fut envoyée en reconnaissance. On ne la revit plus pendant des semaines. Lorsqu'elle revint, ce fut avec de mauvaises nouvelles : elle avait le visage brûlé et elle rapporta que Lyon avait été assailli.

Handor leva immédiatement une armée, confiant des contingents au pouvoir de ses différents capitaines. Puis lorsqu'enfin ils vainquirent la Perle Noire, le dernier combat fut attribué à Handor et à Maldazar, le prétendant au trône. Handor respectait la valeur guerrière du félon, mais il n'était pas question de l'épargner. Ce fut donc avec regret qu'il le désarma au bout de quelques échanges et le tua net. De puis ce jour, plus personne n'émit de critiques sur le roi Handor ni sur ses manières de gouverner.

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Kassan Dintra

Kassan Dintra…Un nom qui fit rêver plus d’un maître d’arme. Naît dans les campagnes Parisienne, il eut une enfance tout ce qu’il y a de plus tranquille, dans une ferme, entourée d’une famille aimante et travailleuse. C’est lors d’un voyage à Paris pour vendre le produit de leur récolte que Kassan et son frère Fatil virent pour la première fois des chevaliers en armure. Les yeux des deux enfants brûlaient d’admiration et de fierté devant un tel spectacle. Ils rentrèrent chez eux des projets d’avenir plein la tête et des images emplissant leurs yeux curieux d’enfant. Quelques années plus tard, alors qu’ils étaient devenus de grand et robuste jeune garçon, un corps de garde passa non loin de la rivière où ils allaient s’entraîner. Les soldats s’arrêtèrent pour faire une pause, et tombèrent dans une embuscade, attaqués par des bandits de grand chemin. N’écoutant que leur courage, les deux frères se lancèrent à l’assaut des bandits. Les soldats pris par surprise étaient en fâcheuse posture, n’ayant pu dégainer leurs armes, ils faisaient difficilement face aux bandits qui les attaquaient. C’est alors qu’arrivèrent Kassan et Fatil, leur force physique effrayèrent les bandits qui furent surpris de voir deux jeunes adultes se précipités à moitié nues contre une dizaine d’homme en arme. Et tout se passa très vite, encore surpris de cette vision, les bandits ne prirent pas le temps de se défendre, et ils subirent la charge de plein fouet… De leurs puissantes mains, les deux frères envoyèrent au tapis 3 bandits en leur brisant divers os, puis la garde repris ses esprits et parvint à se débarrasser du reste des agresseurs…
Le capitaine du bataillon s’entretenu avec eux et leur voua une admiration impressionnante pour un capitaine envers deux jeunes inconnus... C’est ainsi que peut de temps après, les deux jeunes frères partirent pour Paris, et ils y devinrent deux des plus grands guerriers de ce monde. Kassan passa plusieurs années à apprendre le maniement de l’épée, et il devint un escrimeur hors pair, apprenant à se battre avec une lame dans chaque main, il ne laissa plus aucune chance à aucun de ces adversaires…

Il s’illustra sur nombreux champs de batailles, il s’illustra comme celui qui tua le plus… Ses victimes se comptaient par dizaine à chaque escarmouche ; mais malheureusement, il finit par arriver ce qui arrive à tout guerrier sur un champ de bataille, il finit par mourir, ce fut lors de la bataille du Périon, après avoir livré un combat sans merci contre Dorel, le dresseur de chevaux, et lui avoir enfoncer sa lame dans le ventre, jusqu’à la gorge, il fut surpris par un troll que les Marseillais avait dressés, et fut violement projeté contre le roc, et alla s’y écraser dans un sinistre bruit… Ceux qui l’ont vu mourir racontent qu’il est mort le sourire aux lèvres…

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Fatil Dintra

Fatil Dintra, ce nom fut un synonyme de la force pure, à l’était brute. Une force colossale, qui aurait pu déplacer des montagnes. Fatil, guerrier invincible, il fut probablement le plus violent des héros du Cœur d’Argent.
Naît dans une ferme, il passa les premières années de sa vie dans la plus tranquille des tranquillité, entouré d’une famille aimante et travailleuse. C’est au cour d’une visite de la capitale que Fatil eu pour la première fois, avec son frère Kassan la volonté de devenir un puissant guerrier. Ce rêve se réalisa quelques années plus tard, lorsqu’il vint en secours à un capitaine et son bataillon en difficulté.

Rentrant au service du Cœur d’Argent, il prit des leçons avec les plus prestigieux des maîtres d’armes. Son goût prononcer pour la violence, sa force colossale ainsi que ses réflexes de la vie à la ferme le firent se tourner vers une arme peu commune, mais aussi dévastatrice que délicate à manier. La faux. S’entraînant jour et nuit, il mit plusieurs années pour maîtriser à la perfection cet engin de mort.

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Servan Fatil


Servan Fatil vivait en ermite avec ses parents elfes, un magicien et une rôdeuse. N'aimant pas la religion, Servan suivit très vite la voie de sa mère, l'accompagnant perpétuellement lors de ses voyages. Sur les routes, sa mère lui enseignait le nom des arbres, des animaux et comment communiquer avec la Nature. A son adolescence, Servan était déjà une rôdeuse expérimentée dans son domaine mais pas dans la vie.

Sur les instances de son père, lors d'un retour de l'un de ses voyages, Servan partit donc pour Paris où elle se rendit vite compte qu'elle n'aimait pas les humains, ni la vie urbaine. Elle ne désobéit pas pour autant à son père et rôdait souvent à l'orée des fôrets. C'est là qu'elle rencontra le futur roi Handor, qui lui parla sous une fausse identité, intrigué par l'elfe. Ils se lièrent vite d'amitié, Servan montrant ses coins préférés au prince héritier.

Handor lui fit croire quelques années qu'il n'était qu'un pauvre enfant du peuple mais un jour, prenant conscience de ses dons, Handor lui révéla enfin qui il était . Servan fut d'abord furieuse mais ils se réconcilièrent vite car jamais Handor ne lui avait menti. Handor lui proposa de l'aider à surveiller les environs et comme Servan le faisait déjà pour elle-même, elle accepta de lui envoyer régulièrement des rapports. Ce fut même elle qui aida Handor à gérer les problèmes environnants grâce à ses informations.

Puis vint le jour où elle fut convoquée au château royal pour une mission d'importance. Par amitié, elle accepta de s'éloigner de Paris, d'aller à Marseille et de découvrir ce qu'elle pouvait. Servan Fatil mit longtemps à découvrir le pot aux roses mais lorsqu'elle sut de quoi il en retournait, elle fut repérée et on tenta de la brûler. Mais elle avait toujours eu un ami pour la protéger et elle appela son ours qui vint à temps pour la sortir du bûcher. Servan parvint à s'enfuir mais pas son ours...

Elle revint dire tout ce qu'elle savait, le coeur rongé de tristesse et de remords. Après avoir dévoilé tout ce qu'elle savait, elle s'enfonça dans la fôret et on ne sut jamais ce qu'elle devint.

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Serden Gaterin

Prononcer ce nom équivaut à prononcer le nom de la puissance incarnée. Serden fut le plus puissant magicien que cette terre ait porté depuis Cernd. Depuis sa plus tendre enfance, Serden fut bercé de magie, fils d’un archimage au un talent faible comparé au sien, Serden était doté d’une intelligence exceptionnelle, alors que les enfants de son âge jouaient dans la rue, il passé déjà le plus clair de son temps à étudier dans la bibliothèque de son père. Apprenant les origines de la magie, et le perfectionnement de son art encore rudimentaire.

Puis vint un jour où il fut pris en tant qu’apprenti chez un magicien bien plus capable que son père. Découvrant le potentiel de son apprenti, le maître fut terrifié à l’idée qu’un jour, il se ferait dépasser par un de ces vulgaires apprentis. Ne le laissant que peut s’entraîner, le maître magicien cacha pendant des années de nombreux sorts et sortilèges à son apprenti. Etrangement, ce dernier continuait de progresser, ne cessant de surprendre son père et son maître, parfait autodidacte, il apprit tout ce qu’il sait maintenant dans les livres, sans l’aide de son prétendu maître…

En quelques années, il fut reconnu comme le lanceur de sort profane le plus expérimenté. Il dévoua son talent et sa puissance au Cœur d’Argent, il fut sur les champs de batailles plus efficace qu’un bataillon entier, il fut responsable de la mort de bonne centaine d’hommes et de bêtes…

Malgré sa puissance, il trouva son Némésis en la personne d’un sorcier Marseillais, détenteur du magefeu, lui conférant de faire pleuvoir sur l’ennemi des torrents de feu, utilisant une énergie brute et pure, au potentiel de destruction démentiel…
Lors de la bataille de la Vandée désolante, le sorcier déversa sur Serden une avalanche de feu, détruisant tous les boucliers qu’il avait mis en place, et consumant Serden en moins d’une seconde.

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Halfalan Merquiem

Halfalan Merquiem, nain des contrées de nord, ayant émigré de sa lointaine patrie de glace pour faire partager, chose rare pour un nain, sa science du métal et de la métallurgie, il arriva à Paris en tant que négociant en matière précieuses telle le précieux adamantium, très recherché pour la confection d’armure étant donné sa résistance élevée. Halfalan arriva les projets plein la tête et de l’or en poche, pour se faire connaître, il ouvrit une petite échoppe, et fit rapidement fortune, ses talents de forgeron furent rapidement reconnus par tout Paris.
Peut de temps après, il fut contacté par le palais pour une très grosse commande de renouvellement des armures de la garde. Travaillant nuits et jours pour honorer son contrat, lorsqu’il eut fini sa tâche, il fut contacté par le roi en personne, le priant de venir au château pour s’entretenir avec lui de ses talents de forgeron.
La vraie motivation de Handor fut une demande au maître nain, la demande de forger une arme qui serait capable de mettre en déroute l’armée Marseillaise…
Halfalan se mit au travail le jour même, se servant de la forge du palais, et travaillant de concert avec les forgerons des anciens, ils fabriquèrent l’arme parfaite…
Lorsqu’il la soumit à Handor, le souverain ne put être qu’effrayé en voyant l’objet, sa puissance était telle qu’il se refusa à l’utiliser, de peur que cela ne se retourne contre lui… Il ordonna aux forgerons de la détruire, mais le matériau, l’adamantium, ne permit pas sa destruction, elle était indestructible… Il fut convenu qu’elle serait tenue en lieu sûr, dans un endroit hautement secret, connu de quelques priviligiés.

Ayant parfaitement rempli sa part du contrat Halfalan se rapprocha du roi, devenant un conseillé fort utile, notamment dans les relations diplomatique avec les nains du grand nord. C’est comme ça qu’un jour, Halfalan, seul nain de l’armée du Cœur d’Argent, fut enrôlé pour une bataille, la bataille de la Vandée Désolante, il livra un combat épique, tuant plus d’ennemi que n’importe qui lors de cette bataille mais malheureusement, quelques hommes parvinrent à isoler le nain du reste de son camp, et à bout de force, Halfalan livra son dernier combat, un chant de guerre sur les lèvres…

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Sainte Amnanthe

Amnanthe est née humble, élevée par des parents adoptifs car ses vrais parents avaient été tués dans un incendie dans un village assez éloigné de Paris, provoqué par des bandits de grands chemins venus piller les paisibles habitants. Elle choisit tôt sa voie "d'ange mortelle", même si elle n'avait pas connu directement des tragédies. Mais belle, naturellement empathique, et d'un fond idéaliste, elle rêvait d'apporter au monde une lumière sans égale. Ce qu'elle voyait autour d'elle l'affectait au plus profond d'elle-même et elle ressentait presque dans sa chair ce que subissaient les autres. Portée par une foi inspiratrice et dotée d'un charisme divin, elle n'avait aucune difficulté à captiver l'imagination des bonnes gens et à leur conseiller une meilleure voie.

Elle n'aimait pas la violence mais elle apprit malgré elle l'art martial avec son père adoptif, un homme aguerri nostalgique de ses anciennes aventures. Armée de ces connaissances, elle les utilisait qu'en dernier recours contre les mauvaises âmes qui ne choisissaient pas le chemin de retour. Ses petits exploits de purification de la contrée se multipliaient et son nom commençait à être prononcé sur quelques lèvres avec déférence. Mais Amnanthe, comme guidée par une main invisible, n'était pas satisfaite et elle monta encore la barre et s'attaqua à des factions organisées qui visaient la souffrance du peuple et sa paupérisation. Et aussi incroyable que fûsse sa quête, elle démantela quelques factions et allégea les douleurs des humbles.

Alors qu'elle cherchait des âmes pures pouvant l'aider dans son idéalisation, elle entendit de plus en plus parler du prince héritier Handor qui s'attelait à faire bien vivre la population. Heureuse qu'un monarque soit disposé à entendre les gémissements de son peuple, Amnanthe alla droit à Paris, traversa la ville et demanda audience. Handor avait entendu parler d'elle et lui accorda une entrevue. Là, Amnanthe lui prêta allégeance avec ferveur et Handor lui donna des hommes pour l'aider dans sa tâche. Cette fois, aidée par un renfort inespéré, ses prouesses doublèrent et Handor connaissait une meilleure renommée, grâce à sa paladine.

Mais advint le jour où Handor la convoqua pour partir en croisade. Amnanthe n'hésita pas et suivit son roi désigné pour libérer une ville d'un fléau né d'une rebellion. Fervente et croyante, elle se jeta dans la bataille, sans peur et avec fanatisme. Elle vainquit beaucoup d'ennemis ce jour-là, les offrant aux divinités du Bien, quelles qu'elles soient. Mais ceux qui la suivaient n'avaient pas sa trempe et bientôt elle avança seule dans la mêlée, entourée d'ennemis avides de sang, isolée dans un cercle de mort promise. Adressant une dernière prière à Torm, Amnanthe chargea pour la dernière fois. Puis submergée par le nombre, elle s'effondra, blessée de toutes parts. A la fin de la bataille signant la victoire de Handor, elle expira enfin. Attristés mais émus, les soldats de Handor se recueillirent et Handor ramassa le bouclier de la défunte pour l'entreposer dans un lieu saint.

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Merindan Nolorsen

Merindan fut depuis sa plus tendre enfance entraîné à maîtriser toutes les formes de combat au corps à corps. Lutteur invincible, il excelle également dans le maniements des armes, particulièrement dans le maniement du marteau de guerre. Vouant un véritable culte au développement du corps et à son perfectionnement, il hait tout ce qui a trait à la magie, préférant la sincérité des armes et de l’entraînement. Il peut passer plusieurs heures par jour dans une salle d’entraînement, répétant chaque mouvement inlassablement, jusqu’à atteindre le geste ultime, l’enchaînement suprême. Depuis ses premiers entraînements, Merindan a toujours mis son talent et sa puissance au service du Cœur d’Argent. Il fait partie de ces gens à la fois indéfectible, qui, pour leurs idéaux sont pré à se sacrifier.
Il dit de lui-même ne pas être un puissant guerrier, mais seulement un Homme, ayant compris que les récompenses de ce monde se méritent, et que pour les obtenir, il faut être prè à en payer le prix.

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Mersefir Arindo

Mersefir Arindo, ce nom résonne aux oreilles des Parisiens comme le chant d’un immense espoir. Barde de son état, Mersefir a beaucoup voyager, il fait partie de ces gens qui, pour les trésors, les rencontres, les batailles ou même l’aventure prennent les sentiers inconnues, et si dirigent d’un pas sûr mais prudent vers la découverte de nouveaux horizons. Les Arindo ont ça dans le sang, ses aïeux furent parmis les premiers à tracer fidèlement les cartes géographiques du royaume de Llanea. Un homme discret par nature, mais qui de ses sages conseils apportent beaucoup au Cœur d’Argent. Au combat, il est toujours devant, renforçant le moral des troupes par son puissant chant, porteur d’espoir, et emprunt de sonorité héroïques. Quiconque entend se chant ne peut s’empêcher de ressentir une étrange vague de puissance l’envahir, lui redonnant confiance, et le faisant croire qu’il peut l’impossible.


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Telmeran Forméra

Telmeran, prêtresse de Cassandre, ne vit uniquement que pour sa foi, pouvant passer des journées entière à vénérer le majestueux dragon blanc, on raconte même qu’il lui chuchoterait quelques paroles et messages d’espoirs à l’oreille. Elle fait partie des personnes influentes se battant pour le Cœur d’Argent, de ses sages conseils naissent systématiquement des bonnes nouvelles pour le Cœur d’Argent. Le temps qu’elle ne passe pas à prier, elle le passe à aider son prochain, secourant les miséreux, assistant ceux qui en ont besoin, conseillant les personnes qui ne trouvent pas la voix, elle serait prête à se sacrifier pour ceux qui le mérite.
Malgré tout ce temps qu’elle passe à aider et secourir, ses aptitudes martiales ne sont pas en restes. Combattante émérite, les dons et sortilèges que ses pouvoirs de prêtre lui confèrent font d’elle une redoutable adversaire.

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Jondolin Haléfer

Jondolin, érudit parmi les érudits, on dit de lui qu’il est l’un des plus puissants magiciens du royaume. Ayant passé sa vie à rechercher le moindre objet, le moindre sort, la moindre information qui le ferait progresser, il n’existe que pour accumuler un savoir absolue. Bien loin d’avoir achever sa quête, il a mis ses dons et ses pouvoirs au service du Cœur d’Argent. Malgré cela, il reste comme bien des magiciens, sûr de ses pouvoirs et de sa supériorité, le rendant arrogant et prétentieux. Mais peut être a-t-il raison au fond… On raconte que partout dans le royaume il n’existe personne n’ayant accumulé autant de connaissance sur la magie que lui. On lui prête des exploits incroyables, il serait un des rares mortels à avoir vu l’avatar de Sulfurak, un immense dragon noir ne laissant derrière lui que des cadavres rongés jusqu’au os par son puissant souffle acide. Jondolin aurait également survécu, lorsqu’il se promenant seul, à une rencontre avec les 3 dragons de la montagne du conseil.
Ses événements n’ont jamais pu être vérifié, véridique ou non, il n’en reste par moins que Jondolin compte parmi les plus puissant sorcier de cette terre.

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Démansa Harbequiem

Bercée depuis sa tendre enfance par les contes et les exploits des héros légendaires, Démansa prit tôt la décision de suivre la même voie que celle d'Amnanthe, la sainte paladine qui servit de toute son âme son roi. Inspirée par leur exemple, elle s'investit entièrement dans leur idéologie, apprenant à se battre en voyant différents maîtres d'armes et en écoutant les prières destinées à Aribeth. Même si elle rêvait de se hisser au même rang qu'Amnanthe, elle ne parvint qu'à rendre de "petites justices" sur sa route, tuant quelques seigneurs trop avides de leurs pouvoirs et protégeant les lésés. Ses actes au quotidien lui donnèrent finalement le titre de championne d'Aribeth.

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